Association IJEDES 

INITIATIVE JEUNESSE

POUR LE DÉVELOPPEMENT ET LA SOLIDARITÉ


INITIATIVE JEUNESSE POUR LE DÉVELOPPEMENT ET LA SOLIDARITÉ

pour l'aide à la scolarisation et à l'insertion socioprofessionnelle des jeunes

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Domaines d'intervention


    Aide assistance et protection des enfants en difficultés :


  • La Promotion du civisme, la consolidation de la paix, de la cohésion sociale, de la tolérance et des droits humains,
  • Insertion et automatisation des jeunes, des femmes et des personnes vulnérables,
  • Promouvoir un développement inclusif pour les communautés résilientes,
  • La promotion de l’emploi,  de l’entrepreneuriat et de l’auto emploi,
  • Insertion et Réinsertion des enfants déscolarisés et/ou non scolarisés,
  • La lutte contre les stupéfiants, les drogues et les grossesses en milieu scolaire,
  • La lutte contre la famine, la malnutrition et la protection de l’environnement,
  • La promotion des Tics et numériques,
  • Contribuer au développement économique et social de la région des hauts bassins.

 

La promotion de toute initiative visant le développement intégral des personnes et des communautés.


NOTRE MISSION


Promouvoir le développement humain intégral des personnes les plus démunies et/ou défavorisées, et la lutte contre la pauvreté sous toutes ses formes à travers la promotion des droits sociaux (santé, éducation, aide humanitaire et solidarité…) dans  les  communautés de  base.

Accroître l’offre éducative sur le plan quantitatif et qualitatif, ainsi que le taux de scolarisation des jeunes démunis et/ou vulnérables dans les zones les plus déficitaires du Burkina Faso.



A Bobo-Dioulasso, deuxieme ville du Burkina Faso notre petit pays sahélien sans ressource naturelle, sûrement le pays le plus pauvre au monde, nous sommes privés des besoins essentiels de base.


C'est pourquoi nous avons besoin de l'aide de généreux donnateurs afin de nous soutenir pour nos projets de développement.

Nos projets, Nos attentes, Notre Travail

L'EQUIPE

Nous sommes à Bobo Dioulasso, deuxième ville du Burkina Faso, nous sommes dans l'arrondissement 5 
secteur 6, 
Rue Setout Fofana, Porte 177.

Tout commence en 2012, Al-Hassane SANOU se donne pour objectif au Burkina de vaincre l'obscurantisme, l'analphabétisme et l’illettrisme, pour remédier à tout ça, il décide d’arrêter ses activités personnelles et d'agir après un constat amer dans son environnement en ce qui concerne l’éducation et la scolarisation des enfants étant donné qu'ils vivent tous sous le seuil de pauvreté.

Par manque de moyens les enfants n'ont pas accès à l’école dont la conséquence à court terme est l’exode rural,  le trafic illicite des enfants, de la maltraitance dans les grandes villes, le harcèlement sexuel surtout envers les jeunes filles qui à la longue sont obligées de se lancer dans la mendicité dans les rues et deviennent des enfants abandonnés, sans domicile dont les conséquences à long terme sont la prostitution et la délinquance plus ou moins grave.

Pour changer cette situation dramatique Al-Hassane Sanou se crée une équipe pour son projet de parrainage scolaire, soit l'éducation pour tous en Afrique dont il est le Chef de Projet dans sa communauté.

Al-Hassane Sanou s'est chargé de scolariser les élèves dans les différentes écoles de la ville, de les suivre et de les encadrer car la plupart sont les premiers dans leur famille à fréquenter un établissement scolaire ayant la plupart des parents eux mêmes illettrés.

Et il a besoin de vous.

Conditions actuelles

Pour le moment vu les conditions, les élèves sont scolarisés dans les différentes écoles de la ville de Bobo-Dioulasso, voire dans les villages rattachés à la ville.

Au début les élèves marchaient 5 km par jour pour rejoindre l’école en ville, aujourd'hui on scolarise chaque élève dans une école près de chez lui, chaque jour Al-Hassane fait le tour de la ville pour suivre chaque élève dans son école respective, échange avec son enseignant pour voir s'il n'y a pas de difficulté particulière afin d'étudier sa scolarisation.

Il y a des périodes de l’année où les maladies tel que le paludisme sévit beaucoup chez les enfants. 
Le paludisme est la première cause de mortalité chez les enfants.

Pendant ces périodes Al-Hassane le matin et le soir fait tout son possible pour réduire la souffrance humaine.

Informatique


Cours d'initiation à l'informatique et dessins au profit des élèves de la communauté.

Accompagner financièrement afin que nous puissions donner une chance aux élèves de connaitre les modules de base de l'outil informatique durant l'année et aussi afin d'occuper les enfants pendant les vacances.

Le but de l’enseignement de l’informatique est d’initier les élèves aux fonctions principales de l’ordinateur, dans une perspective d’« alphabétisation technologique », de première approche des technologies de l’Information et de la Communication, tout en développant à la fois leur esprit critique, leurs capacités en matière de déontologie, de comportement en société, et leurs aptitudes à agir et à créer aussi bien au niveau personnel qu’en collaboration avec d’autres ou au sein d’une équipe. 

Projets de construction

A l'heure actuelle les cours sont donnés
sous des tentes, des hangars, il est donc impératif de pouvoir offrir aux enfants ainsi qu'aux enseignants des conditions acceptables pour avoir accès au savoir et pour leur donner toutes les chances dans leur futur et celui du Burkina Faso.

Projets : 
  • Construction d'une salle d’alphabétisation.

  • Construction d'une cantine scolaire.

  • Construction d'une bibliothèque pour la communauté de 60.000 habitants car nous n'avons pas de bibliothèque.

PROJET socio-éducatif, réalisation d'infrastructure scolaire au Burkina Faso, apprendre à lire et à écrire à Parler sous une paillote, sans murs ni électricité....


Les salles d’école en dur ne pouvant accueillir tous les élèves, parents et enseignants en construisent avec les moyens du bord. Au Burkina Faso ces classes sous paillotes construites avec les moyens du bord en raison du manque de ressources de l’Etat,

Écoles sous paillotes dans la région du Houet au Burkina Faso : 
Au péril de leur vie les enfants luttent contre l’ignorance, un mal nécessaire, “lorsqu’il pleut ou qu’il y a du vent nous devons suspendre les cours”.

Dans cette école de trois salles de classe et d’une centaine d’élèves la rentrée s’annonce périlleuse. Pour faire face au manque d’espace les classes de CP1 et CP2 seront regroupées en une seule, et celles de CE1 et CE2 dans la même afin d’avoir une classe pour le CM1. Et même dans ce cas, les tables-bancs ne sont pas suffisants et les hangars pas assez grands pour accueillir deux classes s’inquiètent les parents d’élèves.

Difficile donc de parvenir à de bons résultats dans de telles conditions. 
« On a du mal à finir le programme » regrette un enseignant qui dispense des cours dans une école sous paillote. 
“On dépend des intempéries, lorsqu’il pleut ou qu’il y a du vent, nous devons suspendre les cours. Nous avons aussi des problèmes de sécurité, pendant les périodes de chaleur, des serpents viennent sous les hangars, le moindre mouvement suspect provoque la panique chez les élèves”.

Pour les parents d’élèves, il n’y a pas d’autres choix à faire. 
“ Nous n’avons pas le choix. C’est une question d’urgence. Nous sommes conscients des risques encourus aussi bien par les élèves que par les maîtres, mais l’essentiel est que les enfants aillent à l’école et apprennent quelque chose. Nous faisons souvent face à des maladies liées à la poussière, les enfants étant exposés à l’harmattan”.*

Les classes sous paillotes semblent être les signes manifestes d’une dynamique éducative, d’un réveil des populations, d’une certaine prise de conscience au sein de la communauté. Elles risquent encore de perdurer au regard du difficile équilibre entre l’offre et la demande des populations. En janvier 2011 ils sont plus de19 295 élèvesdans les classes sous paillotes. 

Favoriser l’accès à l’éducation

L'association conçoit des projets d’infrastructures (construction de maternelles et d’écoles, installations d’équipements, rénovations …) et des programmes d’accès à l’éducation (scolarisation, soutien scolaire, réinsertion scolaire des enfants vulnérables et des enfants des rues…). 
Ces programmes peuvent se conjuguer ou se relayer dans la durée pour accroître leur impact.

* L'harmattan est, au Sahara et en Afrique Centrale et de l'Ouest, un vent du nord-est, très chaud le jour, plus froid la nuit, très sec et le plus souvent chargé de poussière.


Pour un pays tel le Burkina Faso des dons sont d'une importance inestimable dans l'atteinte des finalités de nos projets. 


Comme dans tout le Sahel, les famines sont hélas fréquentes au Burkina-Faso. 


Vivant pour la plupart en dessous du seuil de pauvreté, les familles ne parviennent pas à nourrir leurs enfants donc une cantine permettra  de maintenir un enfant à l’école.


La construction d'une cantine scolaire pour les enfants, autre volet de la prise en charge sanitaire sera salutaire.


Il y a 208 écoles précaires en hangars, en tentes, ou sous les arbres âgés.

Faire un Don

Mises à jour régulières, 
ne manquez pas de visiter notre site, notre page Facebook et notre chaîne Youtube.

Accès des Filles à la Scolarisation


Parmi nos projets le programme pour améliorer l’accès des filles à la scolarisation à faible participation scol aire de certains groupes marginalisés (enfants les plus démunis, orphelins et enfants vivant avec un handicap).

La déscolarisation des filles persiste, la pauvreté de la famille fait également obstacle à l’éducation. La scolarisation des enfants peut se traduire par une perte de revenus ou d’aide à la maison. 

Il arrive que les frais scolaires soient trop élevés ou que la famille n’ait pas les moyens d’acheter l’uniforme et souvent, lorsqu’il faut faire un choix entre une fille et un garçon, la famille consacrera ses maigres ressources à l’éducation du garçon, considérant qu’il s’agit d’un meilleur investissement à long terme.

Les filles, les plus vulnérables.

Projet Education et protection des filles 
 
L’approche "école amie des filles"
 
L'association IJEDES rappelle que l’éducation est un droit fondamental pour tous les enfants, selon l’article 28 de la Convention internationale des droits de l’enfant de 1989 ratifiée par 195 pays. 
 
L’éducation d’une fille est reconnue comme un des leviers les plus puissants pour sortir de la pauvreté et pour s’émanciper. 
 
Notre priorité : agir pour que des millions de filles puissent aller à l’école car scolariser une fille, c’est lui permettre de prendre confiance en elle, faire ses propres choix, avoir droit à un métier pour construire son avenir. 
 
L'association plaide auprès des décideurs locaux, gouvernementaux et internationaux en faveur de l’éducation des filles et de la gratuité de l’éducation des filles.
 
La situation des femmes, surtout dans les pays pauvres, continue à se détériorer, cela exige de nous tous une mobilisation accrue et un engagement renouvelé en faveur de l’égalité des sexes et des principes qui soutiennent nos actions de
développement. Il ne suffit pas d’affirmer les principes du développement durable qui ne se réalise pas dans un contexte d’inégalités accrues entre hommes et femmes, il faut aussi les mettre en pratiques. L’association a créé une approche "école amie des filles".

Nous sécurisons les établissements scolaires, grâce à des toilettes propres et séparés pour les filles et des codes de conduite non-violente pour le personnel éducatif en les formant à l’égalité entre les filles et les garçons, et nous renforçons la sécurité sur le trajet de l’école. Les sensibilisations pour l’éducation des filles ont permis de ramener à l'école des filles en décrochage scolaire.
 
La pauvreté : 
 
Les familles en situation d’extrême pauvreté ne peuvent subvenir aux frais de scolarité de leurs enfants, et si elles le peuvent, elles font souvent le choix d’envoyer les garçons étudier. 


Les violences à l’école et sur le trajet de l’école :
 
Les filles plus que les garçons sont exposées à la maltraitance, aux violences physiques et morales, et aux abus sexuels à l’école et sur le trajet de l’école tant de la part du personnel éducatif que des garçons, ce qui conduit de nombreux parents à retirer leurs filles de l’école.
 
Le droit à l’éducation est un droit humain.


LES PLUS DÉFAVORISÉS

Nous repérons les élèves et enfants les plus vulnérables en menant des diagnostics de vulnérabilité.

Nous soutenons les enfants en situation délicate à rester ou à retourner dans leur famille à travers la scolarisation, le suivi, la réinsertion et l’accompagnement au lieu de les abandonner à la merci de la rue à savoir que beaucoup d’enfants du fait de diverses raisons ont abandonné l’école pour la rue.

Nous soutenons les enfants sans encadrement familial, les enfants déscolarisés précocement, les enfants en rupture de liens familiaux, notre action regroupe deux concept : 
Nous soutenons les enfants sans encadrement familial, les enfants déscolarisés précocement, les enfants en rupture de liens familiaux, notre action regroupe deux concept : 

Enfants de la rue et Enfants dans la rue :

Enfants de la rue : enfant qui est en rupture totale avec sa famille et où la rue devient son espace de vie.

Enfants dans la rue : enfants qui se retrouvent dans la rue que provisoirement, cet enfant garde certains liens avec sa famille et la lui rue lui sert de gagne pain.

Objectifs

L'association IJEDES
Priorise l’éducation pour tous et mobilise les ressources à sa réalisation. La réalisation des nombreux objectifs de l'association nécessite la mobilisation d'importantes ressources humaines, matérielles et financière :

1 - Acquisition d’équipement socio éducatif ;
2 - La réalisation d'une infrastructure d'encadrement et d'animation ;
3 - Les moyens de fonctionnement ;
4 - L'acquisition des moyens  logistiques et techniques  (voiture, vélomoteur, ordinateur, mobile, appareil photo, etc...) ;
5 - La construction et le financement du siège de l'association ;
6 - La construction d'une Bibliothèque Communautaire ;
7 - La construction d'une école destinée à l'apprentissage des métiers. 

Les réunions


Des réunions très fréquentes sont programmées pour le suivi des enfants

avec les professeurs et notre équipe de jeunes bénévoles.
PROJET 
CANTINE 
SCOLAIRE



LA FAIM NE DOIT PLUS ÊTRE UN OBSTACLE À L’APPRENTISSAGE

Dans l’ouest africain, la possibilité de manger à la cantine augmente la fréquentation des écoles. 
Un vaste plan de L'ASSOCIATION IJEDES permet de lutter contre le décrochage scolaire et la malnutrition des enfants.
Au Burkina Faso des repas à la cantine pour lutter contre l'absentéisme scolaire.
Au Burkina Faso ouvrir des cantines à l’école améliore la scolarisation.

Aidez-nous a réaliser des cantines scolaires en Afrique !

Comme dans tout le Sahel, les famines sont hélas fréquentes au Burkina-Faso. Vivant pour la plupart en dessous du seuil de pauvreté, les familles ne parviennent que difficilement à garantir une alimentation suffisante à leurs enfants. Lorsque les élèves mangent à leur faim à la cantine, ils sont de fait plus présents en classe. Un moyen de lutter à la fois contre l’absentéisme scolaire et la malnutrition.
Trop souvent, par manque de moyens, les parents ne peuvent préparer de repas pour leurs enfants lorsqu'ils
partent à l’école le matin. Quand il n'y a pas de cantine scolaire, la plupart des enfants passent ainsi leur journée de classe sans rien manger. Plus grave : nombre d’entre eux doivent même attendre le soir pour prendre leur unique repas depuis la veille !
Dans un tel contexte d’insécurité alimentaire, la cantine scolaire revêt une extrême importance.
Facteur de mobilisation sociale autour de l’école, la cantine scolaire permet d’améliorer considérablement la qualité de l’éducation. Les enseignants sont formels : un repas servi à mi-journée est un élément capital qui favorise la fréquentation et permet une meilleure performance des élèves. Car comment demander à un enfant d’être concentré, d’être motivé, de réfléchir et de s’appliquer s’il a le ventre vide ? 
« La cantine scolaire, pour un pays tel le Burkina Faso, est d'une importance inestimable dans l'atteinte des finalités de l'éducation ».
Dans la région du Houet L'ASSOCIATION IJEDES est engagée pour la scolarisation des enfants.

PROJET 
DE 
CRÉATION 
D’UNE 
BIBLIOTHÈQUE 
POUR 
LES 
ENFANTS 
DE 
BOBO-DIOULASSO


DESCRIPTION DES PRINCIPAUX OBJECTIFS :

Suite à un constat d'absence de bibliothèque à 
Bobo-Dioulasso, une population de près 1 million d'habitants, il n'existe pratiquement pas de bibliothèque dans la ville.

Cette situation a créé le désintérêt et donc la paresse intellectuelle chez les élèves et étudiants. En conséquence tous ces problèmes entraînent la baisse de la performance des élèves et étudiants, et nuisent à la qualité de l'enseignement. 

L'association IJEDES a décidé d'agir pour combler ce vide et se donne le but de redonner le goût de la lecture aux élèves étudiants et aux chercheurs pour aller vers la réussite scolaire et universitaire.

Également l’absence de fonds de documentations n’incite pas les parents à scolariser leurs enfants au village, ils ont le sentiment que l'instruction n'est pas de bonne qualité ainsi le niveau des élèves est faible car ils n’arrivent pas à lire et écrire correctement faute de contact avec les manuels scolaires et documents adéquats. 

Le développement socio-culturel de tous les habitants est l’objectif numéro 1 :

Les objectifs spécifiques sont :
  • Favoriser l’épanouissement créatif de la personnalité, l’expression culturelle et artistique ;
  • Donner le goût de la lecture aux enfants ; 
  • Créer des loisirs pour tendre à susciter de l’intérêt à la curiosité, à la culture ainsi qu’à détourner les jeunes de la délinquance ;
  • Assurer l’accès à l’information ;
  • Encourager le dialogue interculturel notamment dans une ville multiconfessionnelle comme Bobo-Dioulasso.
Les 3 résultats majeurs attendus :
  1. Meilleur accès à la culture et au savoir ;
  2. Redynamisation du lien pédagogique et de la mixité sociale ;
  3. Réduction de la délinquance. 
Les bénéficiaires du projet sont :
  • Les bénéficiaires directs sont globalement les citoyens dont les jeunes, les chercheurs, les étudiants et les enfants…. 
  • Les bénéficiaires indirects sont les habitants des communes voisines et des villages rattachés à la ville de Bobo-Dioulasso.

Pour la bibliothèque il faut en priorité : 
  • Livres scolaires, BD, romans, cahiers de jeux, encyclopédies, dictionnaires, etc.…)
  • des stocks de fournitures et de vêtements scolaires ;
  • des ordinateurs sur lesquels réaliser des travaux scolaires et des activités ludiques (jeux sur CD-ROM notamment) ;
En second lieu mais très important également l’achat de panneaux solaires (qui permettront de rendre la bibliothèque autonome sur le plan énergétique et favoriseront le confort de l’étude).

Ainsi nous venons vers vous et comptons sur votre générosité pour nous soutenir dans la réalisation de ce projet.

Vous pourrez nous aider par des dons financiers grâce à notre campagne en ligne ainsi que, si vous le préférez, nous envoyer des colis de fournitures et autres à notre adresse.


PARRAINAGE

Le parrainage à 
L'ASSOCIATION IJEDES

est un engagement financier pour soutenir la scolarisation des enfants. Il s’agit de donner la chance à des enfants en situation difficile ou issue de familles démunies et ou défavorisées pour pouvoir aller à l’école ou de reprendre le chemin de l’école.

Au départ ce parrainage était individuel mais aujourd’hui la tendance est d’en faire un parrainage collectif pour donner l’opportunité à plus d’enfants d’être parrainés. 
Les parrains et les marraines collaborent avec IJEDES pour soutenir la scolarité des enfants sur le long terme.

Contexte et justification :

Au Burkina Faso, l’accès à l’éducation reste encore difficile pour certains enfants. Seulement deux enfants sur cinq en âge d’aller à l’école y ont accès. Les facteurs explicatifs de cette situation sont nombreux. On peut noter entre autre le coût élevé des frais de scolarité, la pauvreté et le manque de moyens financiers des parents qui expliquent leur réticence à scolariser leurs enfants.

Les enfants en situation difficile ou issus des familles démunies sont les plus touchés par cette situation. Livrés à eux-mêmes, ces enfants déscolarisés ou qui n’ont pas eu la chance d’aller à l’école, tentent l’aventure à la recherche de meilleures opportunités. Malheureusement, nombreux sont ceux qui finissent par se retrouver dans la rue ou échouent dans le filet des trafiquants d’enfants.

C’est pour toutes ces raisons que IJEDES a initié des actions de parrainage dont l’objectif est de permettre l’accessibilité de ces enfants à l’école. En outre, elles s’inscrivent dans une démarche de prévention visant à réduire l’arrivée des enfants dans la rue, leur départ pour la migration à risque et leur exposition au phénomène de la traite.

Contexte et justification :

OBJECTIF

L'objectif du Programme de Parrainage Scolaire Le programme de parrainage a pour objectif d’offrir des conditions optimales d’éducation aux enfants en âge de scolarisation issus de famille pauvres et aux enfants vulnérables. 

La finalité

La finalité du projet de parrainage est que les enfants parrainés inscrits deviennent l'objectif du parrainage.
Les enfants parrainés deviennent libres et responsables et participent au développement de leur communauté.
L'Association IJEDES cherche a aider les enfants des plus démunis parmi les plus pauvres à avoir une chance de scolarisation sans distinction de leur appartenance religieuse face à l’enjeux très déterminant qu’occupe l’éducation dans le devenir individuel et collectif des générations, nous contribuons a promouvoir l’éducation, la scolarisations et l’insertion des jeunes des enfants et surtout les filles.

Quel public ciblé ?

-Les enfants issus d’une grande famille,délaissés à eux-mêmes et ayant la ferme volonté de poursuivre les études
-Les enfants orphelins de père et de mèreet dont les parents adoptifs souhaitent qu’ils poursuivent les études mais dont les moyens sont limités.
-Les filles,améliorer l’accès des filles à la scolarisation à faible participation scolaire de certains groupes marginalisés (enfants les plus démunis, orphelins et enfants vivant avec un handicap.
-Les enfants dont les parents sont réellement pauvreset qui ne peuvent pas prendre en charge la scolarité des enfants. Il s’agit de parents sans travail ni aucune source de revenus.
-Les enfants en situation de ruequi expriment le souhait d’aller à l’école. 

Organisation pour la mise en œuvre du projet de parrainage :

Processus de sélection des enfants :
Comment faire la sélection ?
Identification des enfants :

Pour l’identification les contributions des enseignants, l’association des parents d’élèves et les éducateurs qui prennent en charge des enfants en situation de rue sont demandés, car ayant en charge le suivi des enfants et l’animation dans les familles, ils sont en mesure de savoir que tel ou tel enfant vit dans des conditions financières très difficiles (cas des élèves en difficulté) ou que tel ou tel enfant désire aller à l’école (cas des enfants en situation de rue ou des enfants des familles démunies).
Ainsi grâce à leur concours nous disposons d’une liste contenant les informations (nom et prénom de l’enfant, nom et prénom des parents, lieu de résidence, adresse, etc.) sur les enfants identifiés.
L’identification se fait aussi à travers les visites de suivi scolaire dans les écoles, les activités dessins.
Nous repérons les élèves et enfants les plus vulnérables en menant des diagnostics de vulnérabilité.

Enquête
A partir des noms retenus sur la liste, nous effectuons une évaluation de la situation familiale. Cette démarche permet de vérifier les informations fournies et les conditions de vie des parents.
Le but des visites dans les familles des enfants est de discuter avec les parents et voir l’environnement dans lequel vit l’enfant. Après une discussion est engagée avec les parents afin d’évaluer leurs problèmes. De très nombreuses familles à Bobo-Dioulasso sont démunies et n'inscrivent pas leurs enfants à l'école car les frais d'inscriptions sont trop élevés. Les parents n'ont eux même souvent jamais été scolarisés et ont d'autres priorités que d'inscrire tous leurs enfants à l'école.
L’ASSOCIATION IJEDES permet à plus d'une centaine d'enfants d'être scolarisés. 
Vous aussi, parrainez un enfant ou devenez donateurs !
  
Utilisation des fonds :

Le montant du parrainage est de 25€ par mois soit 300€ par an. L’argent confié à L'association n’est pas remis aux parents mais est utilisé pour mettre en œuvre le parrainage. Il servira concrètement à financer :

  •     Les frais scolaires des enfants 40%
  •     Les fournitures scolaires 15%
  •     Les frais médicaux 15%
  •     L’alimentation 10%
  •     Les frais de suivi, photo et correspondances 10%
  •     Les honoraires de deux éducateurs 5%
  •     Participation au fonctionnement de L' association 5%

Suivi des enfants parrainés :

Pour un meilleur suivi des enfants parrainés le dispositif suivant est mis en place :

Deux éducateurs sont chargés du suivi des enfants et de rendre compte. Ils sont en contact avec les parents et les enseignants.

Le responsable du parrainage est un éducateur.


Grâce à votre aide, vous soutenez les familles ainsi que les structures des communautés en Afrique.

 Aidez les enfants en Afrique !

Votre aide permet d’offrir un avenir aux familles et aux enfants en Afrique. C’est un moyen de les aider à sortir de la pauvreté et à subvenir à leurs besoins.
Offrir la chaleur d’un foyer aux enfants.
Le développement de nos activités génère toutefois des frais qu’une association à but non lucratif peut difficilement assumer. 
Un appui financier ou matériel permettrait de nous donner les moyens de réaliser ces projets en vue de répondre aux besoins de ces enfants en difficulté.

Nous vous remercions de nous soutenir.


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